A en croire cette vidéo publiée par le compte Twitter des Diables (@BelRedDevils), Courtois et Lukaku se sont visiblement bien marrés en lisant le courrier des fans...
Le point presse des Diables est prévu à 10h30 (15h30 HB) ce jeudi. Au menu: Kevin De Bruyne, Kevin Mirallas et Jan Vertonghen.
Mirallas: "Si je vais regarder le match ce soir? Non, on va au restaurant... Je plaisante. Bien sûr qu'on va suivre ça"
Fin du point presse. Les médias vont être priés de quitter les lieux pour laisser place à l'opposition à dix contre dix à huis clos.
On vous proposera des interviews vidéo des trois joueurs en fin de soirée.
Avant cela, en ce qui nous concerne, on va tenter de se rendre jusqu'à l'Arena Corinthians de Sao Paulo où se déroulera le match d'ouverture du Mondial à 17h locales (22h HB).
La police militaire de Sao Paulo a dispersé des dizaines de manifestants avec des gaz lacrymogènes et des grenades détonantes, à quelques heures du coup d’envoi du Mondial, a rapporté un journaliste de l’AFP
A Sao Paulo, des policiers anti-émeute ont d'abord dispersé avec gaz lacrymogènes et grenades assourdissantes un groupe d'une soixantaine de manifestants anti-Mondial qui venaient à peine de se rassembler à environ 10 km du stade aux abords d'une station de métro en chantant: "Le Mondial n'aura pas lieu"
Une journaliste américaine de CNN a été légèrement blessée par une capsule de gaz lacrymogène, a twitté le correspondant de la chaîne américaine à Sao Paulo.
"Si nous n'avons pas de droits, il n'y aura pas de coupe"... Tel est le message que l'on pouvait lire sur une banderole déployée par une soixantaine de manifestants anti-Mondial
Les policiers sont intervenus avant même que la marche ne commence. Ils ont notamment tiré des balles en caoutchouc contre un manifestant torse nu qui a été interpellé
Des échauffourées entre manifestants radicaux masqués et policiers militaires de Sao Paulo ont repris en fin de matinée, à quelques heures du coup d'envoi du Mondial.
Une centaine de manifestants arrachaient des panneaux et feux de signalisation et des poubelles en plastique auxquelles ils mettaient le feu pour édifier des barricades. Ils étaient vêtus de noir, comme les anarchistes Black Bloc et encagoulés ou masqués. Certains lançaient des pierres sur les forces de l'ordre.
Les policiers du bataillon de choc, protégés par des boucliers, tentaient de les disperser en lançant des grenades assourdissantes et des balles en caoutchouc.
Une manifestante en chemise noire a été légèrement blessée sous les yeux de dizaines de journalistes brésiliens et étrangers sur place.
H-2h20: des deux d'artifices se font entendre au-dessus du stade. Enfin, on espère que c'est bien ça...
La cérémonie d'ouverture, par contre, c'est déjà dans moins d'une demi-heure...
Un journaliste local est présent avec nous. On lui apprend que des confrères ont été blessés. Sa réaction: "C'est normal, ce sont des choses qui devaient arriver..."
Origi: "Lukaku est très important pour l'équipe. Mais je suis ambitieux. Je vais tout faire pour le concurrencer."
Discussion avec un photographe argentin travaillant pour un média européen et qui habite en Chine:
-Qui vient aujourd'hui?
-Dembélé, Alderweireld et Van Buyten.
-Ce sont des stars?
-Euh, ils jouent dans des grands clubs en tout cas.
-Qui sont vos stars?
-Kompany, Hazard, Courtois,...
-Ah. Ça s'écrit comment?
Non, la réputation des Diables ne dépassé pas toutes les frontières...
Wilmots: "On a pris le rythme. A 22h30-23h, on était au lit. Et quand je vois comment ils se sont entraînés ce matin, je suis tranquille de ce point de vue-là."
Wilmots: "On le sent: dans ce genre de tournoi, cela se joue sur des détails. Comme sur le 3e but hollandais hier contre les Espagnols."
Wilmots: "Il y a beaucoup de Belges qui vivent à Sao Paulo. Le consulat m'a demandé s'il pouvait organiser une visite des supporters et j'ai dit: d'accord. Les joueurs en étaient ravis."
Wilmots: "On connaît tout de l'Algérie. On en parle avec les joueurs durant toute cette semaine via des fiches. Mais je ne veux pas qu'ils reçoivent toutes les infos d'un coup".
Fin de la conférence de presse.