Le réseau de De Lijn fortement ralenti en Flandre
Les zones d'Anvers, Gand, Courtrai et Dilbeek sont particulièrement touchées par la mobilisation, a indiqué le porte-parole de De Lijn, Tom Van de Vreken. Assailli par les usagers en quête de renseignements, le site internet de la société de transport est actuellement indisponible.
Dans la ville et la province d'Anvers, un bus sur deux circule. La situation est légèrement meilleure dans la région de Malines puisque 70% des bus assurent leur liaison.
A Courtrai, seul un bus sur quatre roule, tandis qu'à Bruges la moitié des chauffeurs a pris son service jeudi matin. La circulation des trams côtiers est donc bien assurée, à l'exception des trams express.
A Gand le trafic est fortement perturbé, mais c'est dans la région de Dilbeek que la situation est la plus chaotique puisque seul un bus sur cinq assure son service et l'axe Alost-Ninove-Bruxelles est dès lors très peu desservi.
La révélation, à quelques heures de la manifestation nationale à Bruxelles, d'une évasion fiscale de plusieurs milliards d'euros vers le Luxembourg est une "véritable provocation", a estimé la secrétaire générale de la CSC, Marie-Hélène Ska, dans Matin Première.
Pas d’encombre pour atteindre Bruxelles par la E411 en venant de Namur. Parti ce matin du Condroz hutois, Bernard a rejoint facilement son lieu de travail à Zaventem. « J’ai juste eu des petits ralentissements à Jezus-Eik. Ça roule nettement mieux quand il y a grève. J’ai juste dépassé 2-3 bus de la FGTB Namur dont un vieux car anglais.»
Les tunnels Léopold II et Rogier seront fermés dans les deux directions à partir de 10h30, indique la police sur Twitter
Bd. Simon Bolivar fermé à la circulation entre avenue de l'Héliport et chaussée d'Anvers (police)
Les policiers n'ont pas repris les gardiens de prison grévistes
Ils sont des milliers de Namurois à s’être donné rendez-vous ce jeudi à la gare SNCB de Namur pour se rendre à Bruxelles pour la manifestation nationale. Pour l’occasion, la société ferroviaire avait affrété plusieurs trains spéciaux, dont les premiers partants étaient, selon un représentant de la SNCB, remplis à plus de 150%.