Un État qui se défile et des citoyens qui s’engagent… Est-ce la solution d’un demain meilleur ? Ou pas ?
Ce mardi, deuxième rendez-vous débat. Depuis la mi-octobre, L’Avenir mène l’enquête sur les initiatives citoyennes. Parmi nos experts, beaucoup pensent qu’elles sont la réponse à un politique aux abonnés absents. Explications…
Le rôle de l’État a changé en quelques décennies. Loué pour ses vertus « redistributrices » et protectrices, « l’État Providence » n’est plus. Il est même devenu un gros mot pour certains politiques qui l’ont prudemment rebaptisé « État social ». Et demain, on parlera sans doute « d’État social actif. »
Vous ne comprenez pas ? L’État social actif, c’est celui qui vous donne les commandes. Vous avez un souci de santé, vous devenez acteur de votre guérison. Vous perdez votre emploi, vous devenez acteur dans la recherche d’un autre job. Bref, vous êtes enfin responsable.
Dès lors, pas étonnant qu’au moment où l’État se transforme ainsi, des initiatives citoyennes émergent comme réponses à des besoins qui ne sont plus rencontrés.
Alors, qu’en pensez-vous ? Un État qui se débine et des citoyens qui s’engagent… Est-ce la solution d’un demain meilleur ? Ou pas ?
Nous voudrions vos réponses. Courtes ou argumentées, nuancées ou sans concession. Nous faisons le pari que vous nous écrirez. À la clé, un supplément citoyen.
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#decliccitoyen